• Dans la famille Sarkozy après le prince Jean propulsé au conseil général des hauts de seine et bientôt à l'EPAD de la défense il y a le grand frère Jean.

    Lui aussi a eu des problèmes à la fac de droit comme son frère Jean qui avait redoublé sa première et deuxième année.

    En droit lui aussi, à Nanterre il a comme son frère eu du mal avec les examens. Sauf que lui en plus il a décidé de tricher pour y arriver et il s'est fait exclure des partiels de février parce qu'il avait été surpris lors de sa tricherie en février 2006 et il a du se présenter en conseil de discipline.

    Son calvaire ne faisait que commencer et la même année, son professeur de science politique, ignorant que l’autre nom de Sarkozy était Nagy Bosca, et ne faisant pas le rapport avec le jeune Pierre Nagy Bosca devant lui, lors du cours sur les reproductions des élites déclarait, « la reproduction des élites a heureusement des ratés. Par exemple vous ignorez peut être que le fils de Nicolas Sarkozy est dans cette fac et il parait que c’est une tanche ».

    Face à cet échec dans le monde « sérieux » et ne désirant pas marcher sur les traces de son prestigieux père, il se réorientera dans le domaine musical et plus particulièrement le Rap ou justement pour ne pas se voir reprocher son patronyme il s’affublera d’un surnom « Mosey ». Il participera notamment à la production du disque d’un « ami » de son père, Doc Gynéco mais aussi du rappeur Poison.

    Complément en rupture avec son milieu (Nicolas Sarkozy avait confié à des interlocuteurs chinois que son fils ainé avait besoin d’être recadré avec autorité et qu’il allait leur envoyer) il est d’ailleurs été assez risible de voir naitre une polémique sur les soi disant passes droits qu’il aurait utilisé pour obtenir une subvention en étant aidé par un conseiller de l’Elysée.

    De  la même manière lorsqu’il se rend à New York il cherche à avoir un entretien avec son idole le rappeur Puff Daddy. Celui-ci forcément ne le regarde même pas jusqu'à ce que quelqu’un de son entourage lui dit que le « petit blanc qui veut te voir » n’est autre que le fils du président de la république française et Puff Daddy tout sourire de le recevoir en lui disant « Hey Prince of France, come to see me »…

    Bref dans ce milieu ou dés qu’on a des relations et le bras long on peut tout se permettre comme le fait son frère Jean, le discret Pierre est totalement en rupture avec son milieu car bien au contraire il le fuit et se cache en prenant un pseudo. Et quand on le présente partout comme « le fils de » il cherche justement à y échapper en voulant exister par lui-même et non par cette caricature de « fils de » que reprend si bien à son compte son frère Jean.

    Jusqu'à sa vie privée ou la copine de Pierre Sarkozy est une jeune black du prénom de Sandrine alors que forcément son frère Jean se marie avec la fille du fondateur de Darty, opposition à son milieu quand tu nous tiens…


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  • L’affaire Julien Dray enterrée, le pouvoir estimant que pour plusieurs milliers d’euros détournés de caisse d’association un simple rappel à la loi suffit (et surtout que ses « amis politiques » voulant se débarrasser de lui vu l’empressement de Mr Huchon de l’éjecter des listes, il serait plus utile au sein du PS à foutre le bordel que devant un tribunal), cette façon de faire m’a rappelé une autre affaire qui a subit également un enterrement de première classe.

     

    Cette affaire c’est l’affaire de la MNEF, du nom de cette mutuelle étudiante, qui ayant à sa tête des dirigeants étudiants proches de la gauche, a gardé des liens, notamment financier, avec ces anciens dirigeants étudiants devenus cadres du PS.

     

    Et la MNEF est donc devenue d’une part une vache à lait pour la carrière d’un certain nombres de cadres du PS qui se voyaient confier des postes « virtuels » au sein de ses instances mais aussi pour les anciens cadres syndicalistes qui se sont fait embaucher comme salariés de la MNEF et qui se sont vu attribuer des rémunérations très intéressante.

     

    Et cette affaire, exposée déjà dans un rapport de la cour des comptes en 1982, restera enterrée sous le présidence de François Mitterrand qui ne voyait rien à redire à ce que la mutuelle finance ses amis politiques, et continuera à perdurer jusqu'à l’éclatement de la bulle en 1999.

     

    Car les rumeurs commençant à enfler, le cabinet de Lionel Jospin alors premier ministre décide de donner un grand coup dans cette fourmilière qu’il n’apprécie guère et il diligente une enquête spécifique, en dehors de toute accusation, chargée d’étoffer un dossier qui devra éventuellement être envoyé à la justice, chose qui sera faite.

     

    Et une fois l’affaire éclatée, devant l’ampleur de la chose et surtout devant le nombre de politiques touchés qui ont profité des largesses du syndicat les jugements seront largement modérés avec l’acquittement pour tous et de la prison avec sursis (couverte par l’amnistie présidentielle de l’époque) pour les ex patrons de l’UNEF et de la MNEF Olivier Spithakis le trésorier de la MNEF et Jean Francois Cambadélis le soi disant consultant qui se voyait rémunéré grassement pour des prestations virtuelles (120 000 euros), comme l’ancienne conseillère de Lionel Jospin, Marie France Lavarini qui se voyait également rémunérée par cette mutuelle.

     

    Et donc ce gigantesque système de rémunération de la gauche politique et syndicale a donc été bouclé sans que rien ne soit reproché aux prévenus les plus importants.

     

    Pourtant le procureur dénonçait « un clan, une tribu qui se distribuait les prébendes ».

     

    Mais cela ne suffit pas et, mis à part Jean-christophe Cambadélis (qui était couvert néanmoins par l’amnistie) tous les autres politiques sont passés au travers.

     

    Julien Dray qui avait touché des sommes de ce syndicat via SOS racisme, pas inquiété (mais SOS racisme fut condamné pour détournement à 5 000 euros d’amende, tout comme les syndicats FO et la CFDT).

     

     Dominique Stauss Kahn qui avait soi disant travaillé pour la MNEF et fait des rapports dont on ne trouve aucune trace, acquitté.

     

    François Bernardi, le patron socialiste des bouches du Rhône, qui a fait de nombreuses affaires louches via des sociétés écran avec la MNEF n’a eu droit qu’a une condamnation symbolique.

     

    Jean Marie Le Guen, patron des socialistes parisiens, ancien patron du syndicat étudiant et chargé de rapatrier au PS les leader étudiants et de voir si les rouages de la MNEF continuent bien à travailler pour le PS en se faisant salarier par celle-ci et à présider des associations fictives créée par le MNEF, acquitté lui aussi,

     

    Le communiquant de la gauche rocardienne, Stephane Fouks n’a lui-même pas été inquiété alors qu’il était grassement rémunéré par la MNEF pour des prestations bidons.

     

    Mais la gauche n’a pas été la seule à être arrosée puisque Dominique Paillé le porte parole de l’UMP, a lui aussi eu droit à son obole par la MNEF  via son ex Maitresse qui y avait obtenu un poste plus ou moins virtuel mais il sera acquitté.

     

    Bref l’ensemble des prévenus s’en sont bien tirés au regard de l’importance des sommes détournées car il valait mieux que cette affaire soit terminée, quitte à amnistier les quelques condamnés, plutôt qu’elle rejaillisse sur l’ensemble de la vie politique, en éclaboussant des personnages importants de la république, comme l’affaire Dray a été enterrée, Dray étant plus utile vivant que mort pour le pouvoir en place…

     

     


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  • J’ai regardé l’autre jour notre ministre de l’intérieur Brice Hortefeux nous faire son show sur la sécurité et nous annoncer tout de go que grâce à sa politique de fermeté la spirale de la délinquance était enrayée et il  y avait 10 voitures de moins de brulées que l’année dernière pour la nuit de la st sylvestre (1 137 contre 1 147 quand même).

    Bon forcément quand on regarde les chiffres qu’il nous a présenté et les chiffres officiels de la police on tique, pour lui cette année il y a eu 198 voitures brulées à Paris intra muros, les chiffres des commissariats en recensent eux déjà 12  de plus soit 210. Pareil en petite couronne il reprend le chiffre de 248 alors que les commissariats en recensaient 350.

     

    Bref Brice Hortefeux nous faisait des rodomontades en se faisant passer pour le casseur des délinquants alors que le bilan chiffré est pas plus fameux qu’avant.

     

    Et ceci me fait penser à la façon de faire d’un de ces illustres prédécesseurs le président actuel qui se faisait toujours passer pour le roi de la politique musclée qui allait faire chuter l’insécurité (et qui s’est fait élire en partie sur son bilan en matière d’insécurité) alors qu’il y avait beaucoup de com mais que l’insécurité et les atteintes aux personnes ne faisaient qu’augmenter années après année…

     

    Et cela m’a fait sourire de voir à quel point le mimétisme d’Hortefeux pour son vieil ami Sarkozy prenne de telles proportion, en adoptant les mêmes discours et les mêmes postures quand il se trouve au même poste.

     

    Car Brice hortefeux suit son ami Nicolas comme un toutou suivrait son maitre. Rencontré au RPR à Neuilly en 1976 alors qu’il avait 18 ans, il le suit à la mairie de la même ville quand le futur président l’emporte en 1983.

     

    En 1993 il se retrouve chef de cabinet de Nicolas Sarkozy quand celui-ci est ministre du budget d’Edouard Balladur en 1993. Il le suit en étant conseiller dans les ministères de son mentor en 2002 (intérieur) et en 2004 (économie). Et lorsque Nicolas Sarkozy revient au gouvernement de Villepin il fait d’Hortefeux son ministre délégué aux collectivités locales.

     

    La carrière d’Hortefeux est donc dépendante de Nicolas Sarkozy qu’il a suivi fidèlement depuis le début dans son ascension politique.

     

    Mais cette fidélité qu’on voit aujourd’hui dans ce mimétisme des postures est vraie aussi dans leur vie privée. Et Brice Hortefeux de confier qu’il admirait le pouvoir de séduction du futur président avec les femmes. Lui qui était timide et gauche avec elle, il confiait l’admirer et le jalouser également…

     

    Va-t-il essayer de faire comme lui et de mettre un peu d’épice dans sa vie privée trop sage comme il a marché sur ses traces dans les ministères ?

     

     

     


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  • Comme l’ensemble des journaux n’ont pas manqué de le souligner, l’éphémère candidat à la présidence de l’EPAD, le fiston du président, Jean Sarkozy et sa femme ont eu un fils qu’ils ont prénommé Solal, en hommage au héro du grand romancier Albert Cohen.

     

    Jusque là tout va bien sauf que déjà au moment de l’élection de Nicolas Sarkozy, le fait qu’il soit d’origine juive, que son ex femme Cécilia, soit juive (et elle d’ailleurs a quitté le président pour suivre un juif extrêmement pratiquant, l’homme d’affaire Richard Attias), le fait qu’il ait débauché un certain nombre de grandes figures juives du parti socialiste (Jack Lang, Dominique Strauss Kahn, Bernard Kouchner…) et le fait qu’il ait nommé un juif à la tête de la diplomatie Française avait déjà fait naitre l’inquiétude dans certains milieux qui voyaient poindre le retour d’un lobby juif extrêmement fort à la tête de l’Etat.

     

    lorsque le mariage de Jean Sarkozy et de sa future épouse, Jessica Sebaoun Darty, la fille des héritiers des magasins Darty, avait été annoncé, cela avait l’objet d’un grand débat.

     

    Ce mariage donc de Jean Sarkozy avec l’héritiére Darty avait fait scandale car si jean Sarkozy est chrétien baptisé (son parrain est le ministre de l’intérieur Brice Hortefeux) sa femme Jessica est elle, juive, et traditionnaliste. Et quand le dessinateur Siné a été renvoyé du journal Charlie Hebdo pour avoir insinué à propos du fils du président qu’il irait loin parce qu’il épousait un membre important de la communauté juive et qu’il allait se convertir au judaïsme (alors qu’il a seulement déclaré vouloir grâce à son épouse se rapprocher de la terre d’une partie de ses ancêtre et mieux comprendre cette langue) cela avait fait scandale.

     

    Le choix donc de Jean Sarkozy de prénommer son fils Solal, prénom d’origine hébraïque et popularisé par le héro juif des romans d’Albert Cohen n’est pas anodin puisqu’il fait suite à une longue liste de polémique sur l’ambition de la famille Sarkozy de se rapprocher de la communauté Juive et d’en faire un allié de poids.

     

    Et cet enfant est particulièrement choyé. A peine Né la chambre de la mère à l’hopital Foch à Suresnes a été équipé  d’un frigo spécialement amené pour cette chambre nouvellement VIP.

     

    Donc que cet enfant soit élevé dans la religion juive ou catholique (ou même aucune) n’ait absolument pas importante, par contre ce qui est important c’est le symbole qu’a voulu donner son père en lui donnant un prénom d’origine hébraïque (même si le fauit de circoncir le petit Solal selon le rite hébraïque comme l'a précisé Mr Balkany semble indiquer l'orientation religieuse que semblent vouloir donner les parents à leur enfant)…

     

     

    En choisissant un prénom hébraïque plutôt qu’un prénom issu de la tradition française, cela prouve que dans son esprit l’héritage ethno religieux est plus important que le modèle assimilationniste lié à l’appartenance à un pays, à une identité nationale. Le poids communautaire est donc ici clairement recherché au lieu de mettre en valeur un prénom symbole de l’identité nationale.

               

     

     


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  • En ces temps de louange ininterrompus sur l’homme politique trop tôt disparu qu’est Philippe Seguin, il convient, de dévoiler une petite face méconnue du personnage.

     

    Car personnage il en était un sans aucune contestation, truculent, colérique, très fin,, toujours adepte du bon mot il aimait boire et manger.

     

    C'était un personnage hors norme en politique à la fois honnéte et outancier, fidéle et de mauvaise foi....

     

    Mais il est un coté qu'on ne connaissait pas c'était son coté jouisseur. Si son embonpoint et la cave du palais bourbon quand il en était le président, laissent à penser qu'il aime boire et manger un aspect et plus méconnu, il aimait aussi particuliérement les femmes...

     

    Car même s’il n’avait pas un physique de don juan Philippe Seguin aimait les femmes et bien des journalistes ont raconté que lors d’interview il aimait jouait de sa voix de stentor et la faire chaude et suave pour leur faire comprendre qu’il les trouvait très à son gout…

     

    Jaques Toubon l’ancien ministre de Jaques Chirac peut en témoigner puisque ce charmeur de Seguin lui a piqué son femme qui était pourtant son grand amour, pour en faire sa seconde femme et la mère de sa dernière fille.

     

    Car derrière ce caractère ombrageux se cachait une recherche de la volupté, un charmeur et un séducteur qui préférait les grandes idées et les petits diners aux luttes apres de la politique.

     

    Quand Nicolas Sarkozy se trouvait n°2 du RPR avec comme Chef Philippe Seguin, il aimait cela car ils étaient complémentaires et complices. A Séguin les envolées lyriques et les grands discours, au futur président la main dans le cambouis et les manœuvres d’appareils et la même connivence pour les belles choses et les belles femmes…

     

    Car en politique pour durer il faut aimer séduire mais il faut savoir lutter et Philippe Seguin n'aimait pas assez la deuxiéme position par rapport à la premiére. Et c'est qui a été la cause de sa non accession aux plus hautes fonctions de l'Etat lui qui en avait pourtant la stature....


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