• Tout le monde s'est beaucoup gaussé de Jean-Jacques Pignard, ce sénateur centriste, supléant de Michel Mercier, qui s'est trompé de bouton et à voter contre le projet de modification des circonscriptions electorales du gouvernement ce qui a eu pour effet le rejet du texte.

    On a beaucoup dit à ce Pignard, encore un coup dans le nez, le personnage ayant la réputation d'aimer bien boire...

    Car les politiques aiment l'alcool et certaines de leurs décisions sont souvent prises sous le doux effet de ce brevage.

    C'est assez logique car les hommes politiques ont une fonction de représentation. Ils sont toujours inivité en tant que représentant légaux aux inauguration et autre fête du boudin.

     

    Et en France toute représentation se fait avec de bonnes (ou de moins bonnes parfois) bouteilles.

     

    Nombreux sont donc les hommes politiques à aimer le bon vin et les bonnes bouteilles et parfois même à aimer en abuser.

     

    Car pour certains d’entre eux à force d’inaugurer et d’inaugurer encore le petit verre de vin à la main, on ne peut plus s’en passer de ce petit verre et il est dommage d’être représenté par un homme politique qui est fortement alcolisé dés 10 heures du matin.

     

    Si les gens le voient, cela ne se raconte pas trop pourtant nombre d’hommes politiques ont de gros problêmes avec l’alcool.

     

    Si Nicolas Sarkozy ne boit presque pas contrairement à son prédécesseur (il a d’ailleurs fortement réduit la cave à vin de l’elysée et fait des économies importantes dans ce poste de dépenses) d’autres hauts personnages de l’Etat au contraire remplissent abondament les caves.

     

    Le conseil constitutionnel a acquis ainsi de nombreuses bouteilles extrêmement couteuses depuis l’arrivée de Jean Louis Debré à sa tête.

     

    Pareillement la cave du palais du Luxembourg a fortement grossi avec Jean Francois Poncelet à la tête du sénat.

     

    Certains ministre comme Jean-Louis Borloo ne sont plus à présenter comme cette vidéo ou on le voyait ivre à la sortie d’une réunion et ou il s’est pris en pleine tête en micro qu’il n’avait pas vu avant de bredouiller 3 mots et de s'enfuir honteux.

     

    Mais le ministre de l’écologie n’est pas le seul à avoir des problêmes avec l’alcool.

     

    L’ancien président du conseil régional de Bourgogne et ex ministre jean pierre Soisson présidait des séances complétement cuité et certains élus commencaient à dénoncer ce président incapable de prendre la parole.

     

    L’ancien Maire de Marseille Robert Vigouroux était lui extrémement souvent pris à son penchant des alcools forts et sa réputation d’alcoolique lui a collé aux basques pendant toute la fin de son mandat et cela a permis à la droite de prendre la ville.

     

    L’ancien Maire de Villefranche sur Saône et sénateur Jean-Jacques Pignard a également été souvent vu au dela de la limite autorisée lors de nombreuses fêtes à Villefranche sur Saône...

     

    Et forcément lors de son vote malheureux au sénat ou il a voté pour l’amendement communiste au lieude voter pour le projet de loi electoral du gouvernement on a pu soupçonné que cette péripétie politique ait une cause légérement autre que la surcharge du travail législatif.

     

    Car appellé d'urgence pour voter pour les centristes ce texte, on est allé le chercher ….

     

    A la buvette de la prestigieuse assemblée et non à la bibliothèque comme il l'a prétendu.

     


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  • Henri Proglio fait partie de ces hommes à la limite entre le pouvoir politique et le monde de l’entreprise qui dirigent les entreprises les plus grandes de France et pour cela s’appuient sur les hommes politiques pour rester à leur tête, comme si le monde politique se rassurait en envoyant dans ces entreprises des hommes à lui et si les hommes des entreprises se rassuraient en noyautant le pouvoir politique.

     

    Dans ces relations incestueuses on peut citer récemment Michel Pébereau  président du conseil d’administration de BNP Paribas qui par exemple le 30 septembre 2008 à 2H40 du matin, la nuit de la grande faillite financière était à Bercy au coté des conseillers économiques du président Sarkozy et de Christine Lagarde pour préparer le compte rendu qui serait fait le lendemain matin sur les conséquences de la débâcle financière. On l’a souvent cité également comme rédacteur du plan de sauvetage des banques puisqu’en tant que patron de BNP Paribas il connaît bien la question…

     

    On peut citer aussi François Pérol secrétaire adjoint de l’Elysée qui se retrouve à la tête des caisses d’épargne, Stephane richard le numéro 2 de Bercy qui va succéder à l’actuel président de France Télécom….

     

    Bref les relations entre dirigeants d’entreprise et pouvoir politiques sont largement endogamiques et il est classique de retrouver des proches du pouvoir dans les grandes entreprises et des grands entrepreneurs amis de ceux qui nous gouvernent…

     

    Mais le cas d’Henri Proglio mérite qu’on s’y attarde un peu. Cet homme discret qui n’aime pas les médias a fait HEC avec Dominique Strauss Kahn même s’ils ne se fréquentent pas à l’époque. Quoi de commun entre Dominique le flambeur et Henri, le laborieux qui travaillait pour payer ses études…

     

    Rapidement après sa sortie d’HEC il intègre la générale des eaux, entreprise qui deviendra Véolia par la suite, fleuron du CAC 4 aujourd’hui.

     

    Or avec l’épisode de Jean Marie Messier ou ce fan de multimédia prend la tête de la générales des eaux et se sert de l’argent de la générale pour créer un géant de la communication Vivendi, Henri Proglio sort du bois.

     

    Il se sert de ses contacts noués au cours des nombreuses années sur le terrain ou il a côtoyé les politiques pour leur faire avaler des contrat de fourniture d’eau ou d’assainissement pour leur ville. Rapidement, autour d’Henri Proglio on voit apparaître Laurent Fabius ou André Santini et même Jacques Chirac pour que d’une part il y ait Véolia environement qui reprendrait le cœur historique de la générale des eaux qui ne serait pas revendu par Vivendi, et de l’autre le pole multimédia autour de vivendi et de jean marie Messier.

     

    Après la faillite de Vivendi, Henri Proglio apparaît comme le patron incontesté de Véolia et surtout il apparaît comme un proche de l’ancien président Jacques Chirac grâce aux liens tissés lorsque Chirac était maire de Paris. D’ailleurs Proglio a eu chaud lorsqu’on a parlé des marchés d’Ile de France et il a du virer son ancien bras droit Eric de Fiquelmont suite à ces affaires puisque la Générale des eaux était citée comme un des principal pourvoyeur de fonds. Mais ces liens notamment financiers lui ont servi à avoir un appui important auprès du président de la république.

     

    Qu’est ce qui a fait alors que l’homme proche de Jacques Chirac devienne un des patrons les plus éminents de la Sarkozye, invité par exemple de la célèbre fête du Fouquet’s suite à l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007.

     

    Une femme, Rachida Dati.

     

    Comme le révèle très bien cet article http://www.bakchich.info/article1895.html, c’est lui qui, en faisant de cette arriviste sa compagne, lui a permis d’être présentée au sien des cercles du pouvoir chiraquien. Mais sentant le vent tourner elle s’est très vite rapproché de Nicolas Sarkozy jusqu'à ce que ce dernier en fasse l’égérie de la nouvelle droite multiculturelle et c’est elle qui a introduit en retour son compagnon dans le cercle fermé de la Sarkozye.

     

    Et Rachida Dati sentant que pour avoir du pouvoir sur Nicolas Sarkozy il fallait être proche de Cécilia Sarkozy, elle est devenue la confidente de cette dernière.

     

    De fait lors des vacances controversées de Nicolas et Cécilia à Wolfeboro aux états unis lors de l’été 2007, une seule ministre avait été conviée à passer l’été avec eux, Rachida Dati accompagnée de son compagnon officiel Henri Proglio qui a donc passé l’été avec le président Sarkozy.

     

    Mais toutes les histoires ont une fin puisque Henri et Rachida se séparent en 2008.

     

    Bien lui en à pris car ce dernier n’est pas entrainé dans la relative disgrâce de Rachida Dati suite à l’arrivé de Carla Bruni aux cotés de Nicolas Sarkozy. Etant devenu un proche de Nicolas Sarkozy grâce à son ex compagne ce dernier pense tout naturellement à lui pour succéder à Pierre Gadoneix à la tête de la plus grande entreprise publique française, EDF.

     

    Et comme il ne peut rien refuser à ses proches il consent à lui laisser cumuler le fauteuil de patron du plus grand groupe public français et d’un des plus grand groupe privé de la place de Paris, Véolia.

     

    Au point que quand un certain nombre de député décident de faire voter une loi interdisant le cumul des rémunérations lorsqu’on est à la tête d’une entreprise publique, Nicolas Sarkozy fait repousser cette loi afin de permettre à celui avec qui il a passé tout un été en 2007, et qu’il apprécie depuis, puisse toucher à la fois toucher son salaire de patron d’EDF (revalorisé, car après tout c’est l’Etat qui est allé le chercher, par rapport à son prédécesseur puisqu’il passe de 1,1 million d’euros annuel à 1,6 millions) plus celui qu’il touche au conseil d’administration de Véolia.

     

    Après tout on n’est jamais mieux servi que par ses amis… 

     


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  • Le socialiste Julien Dray a toujours été attiré par la lumières, le pouvoir et les petits arrangements.

     

    Mais à force d’aimer ce qui brille, il a finit par se bruler et être rattrapé par ses manies des petites combines.

     

    Toujours prêt aux coups tordus pourvu que ca l’arrange il a été victime d’un coup tordu pour le griller parce que visiblement il commençait à insupporter plus d’un…

     

    De droite ou de gauche on ne sait pas d’où vient le coup, même lui d’ailleurs ne le sait pas mais visiblement on lui en voulait car il a été victime d’une dénonciation anonyme à la brigade financière. Et du coup ses « amis » socialistes ont décidé de l’achever en l’excluant de leur liste pour les régionales (ce qui semble indiquer d’ailleurs d’où vient le coup)

     

    On lui reproche donc un certain mode de vie exagéré par rapport à ses revenus réel avec notamment l’achat de montres extrêmement couteuses pour plus de 131 000 euros dont une de 18 500 euros, d’avoir bénéficié de fonds émanant du syndicat lycéen la Fidel et de SOS racisme pour plus de 350 000 euros ainsi que d’entreprises travaillant pour le conseil régional ile de France dont il est vice président. De n’avoir fait aucun retrait en liquide de ses comptes pendant plus de deux ans, preuve qu’il recevait de la menue monnaie par ailleurs…

     

    Or si Julien Dray aime le luxe il aime encore plus les couts fourrés et les petits arrangements. Et bien plus de profiter de l’argent public il préfère en faire profiter les causes qu’il soutient.

     

    Très jeune déjà il s’implique énormément à la LCR et comme la LCR aime intégrer les mouvements étudiants il devient vice président de L’UNEF ID en tant que membre de la LCR.  Or au sein de l’UNEF ID il rencontre le futur député socialiste Jean Marie Le Guen qui le fait basculer avec un certain nombre des cadres de l’UNEF ID au parti socialiste car il faut dire que nous sommes en 1981, le PS vient de prendre le pouvoir et les postes sont plus intéressants au PS qu’a la LCR. De fait l’UNEF ID fait la bascule un temps auprès du PS et les militants trotskystes attendront pendant plus d’un mois Julien Dray en bas de chez lui pour lui faire payer sa trahison.

     

    Une fois ses études terminé et sa période syndicaliste finit, pour exister au PS avec d’anciens de l’UNEF ID comme Harlem Désir, il fonde SOS Racisme. Il restera toujours le parrain de SOS racisme et continuera à s’impliquer dans les mouvements de jeunesse qu’il cherchera toujours à contrôler pour peser sur les débats au sein du parti socialiste.

     

    Pour « remercier » Julien Dray d’avoir monté SOS racisme et d’avoir récupéré ainsi les contestations identitaires, Mitterrand lui-même lui attribuera une circonscription dans l’Essonne. Et tout en continuant en pesant sur SOS Racisme Julien Dray réussira à exister au PS en créant un courant, la Gauche Socialiste avec d’ex trotskyste comme lui Jean Luc Mélenchon ou Gérard Filoche.

     

    Mais surtout Julien Dray reste le grand manitou des mouvements de jeunesse et il reste le lien entre le parti socialiste et SOS Racisme d’où il amènera Malek Boutih, L’UNEF ID en rapatriant Jean-Noël Cambadelis ou  La fidl, le syndicat lycéen qu’il a contribué à créer via ses amis de SOS Racisme d’où il ramènera Delphine Batho ou la fille de Gerard Filoche, Lea actuelle élue de Paris.

     

    Ainsi, opposé au gouvernement Rocard trop marqué à droite à son gout, il soutiendra en sous main les mouvements lycéens de 90/91 chose que Lionel Jospin alors ministre de l’éducation lui reprochera toujours.

     

    Car avec sa façon de faire d’animer toujours des mouvements annexes propres à déstabiliser aussi bien la droite que ses ennemis de gauche Julien Dray n’est pas aimé par sa propre famille politique qui lui reproche ses coups tordus.

     

    Epargné miraculeusement par le scandale du financement de la mutuelle étudiante, la MNEF, il a quelques conflits avec de nombreux camarades socialistes. Quelques uns lui subtiliseront son téléphone portable pour passer une nuit à appeler l’Australie avec la facture qui va avec.

     

    Contraint à la discrétion avec Lionel Jospin qui ne supporte pas son coté arriviste et manipulateur, il devient un grand manitou du PS avec l’arrivé de François hollande, avec qui il passe ses vacances tous les étés à Mougins, qui le nomme porte parole du PS.

     

    Avec l’arrivée de Ségolène Royale sur le devant de la scène il croit son heure arrivé. Proche d’elle de par leurs nombreuses vacances passées ensemble, il devient son bras droit, son âme damné pour l’élection présidentielle de 2007 en étant son coordonateur de campagne. C’est avec lui qu’elle s’entrainera au débat face à Nicolas Sarkozy dans la voiture l’amenant au studio de télévision. Bête médiatique, il se dit à ce moment là qu’en la faisant élire, il deviendrait incontournable au sein du parti…

     

    Après l’échec de Ségoléne Royal, il se brouille avec elle ne voulant pas rester un de ses seconds couteaux. il croit au contraire qu’il est temps pour lui et ses ambitions de se dévoiler et il se déclare aussitôt candidat à la succession de François hollande à la tête du parti socialiste.

     

    Mais malheureusement pour lui ses liens avec tous ses satellites associatifs sont mis au grand jour et son rêve s’effondre.

     

    Car si Julien Dray a monté tous ces réseau ce n’est pas tant pour avoir de l’argent pour lui personnellement mais pour assurer son ascension comme l’avais fait à son époque Jaque Chirac avec la mairie de Paris.

     

    Ainsi les réseaux de financement croisé qu’avait développé Julien Dray d’abord avec la MNEF via l’UNEF-ID puis avec SOS Racisme et la FIDL ne lui servaient pas à l’achat de ses montres même si à la marge ils y ont certainement un peu contribué, mais au paiement de son attachée parlementaire recasée pendant la campagne présidentielle attachée de presse de Ségolène Royale ou de Marc Rosenblat le financier de la MNEF, l’ex président de l’UNEF ID, dont les réseaux sont toujours puissants et de bien d‘autres.

     

    Bref comme à l’époque de la MNEF, de la mairie de Paris ou des marchés d’ile de France on se retrouve là avec des associations pourvoyeuses d’argent. On se retrouve encore face à de l’argent détourné bien sur, en partie par l’arrogance d’un homme et son gout des belles choses puisque julien Dray n’a quand même pas retiré une seule fois de l’argent en liquide de ses comptes en deux ans, preuve que le liquide il l’avait ailleurs,  mais surtout pour permettre l’ascension de cet homme et de son entourage qui a utilisé ses associations aussi bien comme contre poids politique que comme source de financement à leur ambition.


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  • Nous savions les italiens beaucoup plus fort que nous dans les moeurs dissolus des hommes politiques et leur révélation par la presse qui a décidé de ne plus se taire.

    Encore un exemple avec Pierro Marrazzo, le patron de la gauche italienne et président de la région de Rome, le bertrand Delanoé ou Jean-Paul Huchon local.

    Pierro Marrazzo lui aime les travestis. Du coup il entretenait pour son besoin personnel un prostitué brésilien travesti dans un petit appartement et va le voir tous les soirs avant de retrouver femme et enfants.

    Bien sur officiellement Pierro est un homme heureux en ménage et on le voit toujours en photo au coté de sa femme  et parfois de ses trois enfants.

    Et comme en Italie tout va bien les policiers chargés de la protection de cette personnalité éminente se rendent compte de son petit manége et comme ils sont policiers assermentés ils lui font un petit chantage, soit il paye soit ils envoient les photos qu'ils ont pris à la presse. Et Monsieur Marrazzo Paiera les policiers indélicats par 3 fois pour la modique somme de 60 000 euros. Surtout que les policiers ont des arguments, les photos dans l'appartement, d'autres dans un hotel, et surtout des traces de cocaine que Monsieur Marrazzo consommait avec son (sa ?) ami(e). Pourquoi s'arréter là en effet et ne pas méler la drogue à la prostitution ?

    Mais bien entendu les photos ont fini par sortir et Pierro Marrazzo a fini par démissionner en se montreant au coté de son épouse bien aimé et il a déclaré qu'il souhaitait se retirer quelques temps dans un monastére, pourquoi en effet ne pas en rajouter dans l'autre sens...

    En Italie justement pays de tous les excés dans ces pratiques , on commence à voir les langues se délier et les politiques qui se comportent comme des people commencent à être traités comme tels par la presse.

    A quand une pareille transparence en France ?

     


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  • En ce moment la mode est au retour de Dominique Strauss Kahn au sein de notre vie politique. On le présente désormais comme le grand espoir de la gauche pour 2012, le seul a pouvoir battre Nicolas Sarkozy.

    Certes mais pourtant quand on les compare un peu on se rend compte que les deux sont assez semblables. Originaire de Neuilly comme notre président, ils viennent tous les deux de ce milieu judéo bourgeois du 92. Dominique Strauss Kahn contrairement à notre président lui a su sortir un petit peu de ce milieu en suivant son pére au maroc.

    Contrairement à Nicolas Sarkozy qui lui s'est totalement enraciné dans le 92, dominique Strauss Kahn n'a que peu d'attache régionale, puisqu'il est d'abord député de haute savoie avant de s'implanter à Sarcelle, lieu d'une communauté juive assez importante.

    Comme Nicolas Sarkozy il est doublement divorcé avant d'épouser Anne sinclair en 1991. Et comme nicolas Sarkozy il aime les femmes. Nicolas Sarkozy est un homme qui aime séduire, c'est ce que lui avait reproché son ex femme Cécilia avant de la quitter. De Dominique Estrosi l'ex femme du ministre christian Estrosi à Laurence Ferrari en passant par Anne Fulda nombreuses ont été les femmes à fréquenter le président.

    Mais si notre président est un séducteur, Dominique Strauss Kahn est un jouisseur. Il ne peut s'empécher de faire des avances à une femme dés qu'il est seul avec elle comme il en a fait au FMI à la hongroise Piroska Nagy et le nombre d'affaire ou il a été engagé est important. Mais on l'a vu aussi dans des parties fines privées ou dans le club échangiste Les Chandelles à Paris et plutot que des maitresse le président du FMI cherche des partenaires.

    Autre point commun c'est leur gout du bling-bling, et de l'argent.

    Dominique Strauss Kahn n'a pas hésité longtemps avant de récupérer le poste de directeur du FMI payé net d'impot un demi million de dollars par an.

    Comme Nicolas Sarkozy, Strauss Kahn aime l'argent et les gens qui en ont. Comme lui il aime les gens qui ont réussit.

    Dominique Strauss Kahn a fait HEC et aime les décideur économiques. comme notre président il est proche des grands patrons comme Raymond Levy, Louis Schweizer ou Denis Kessler vice-président du Medef.

    Ministre de l'économie c'est lui qui met en place le régime fiscal trés favorable pour les patrons des stocks options.

    Il abrogea aussi la loi Thomas pour permettre le développement des fonds de pension.

    Il fut le ministre de l'économie qui privatisa le plus et il mit en place un régime économique proche de celui qui inspire Mme Lagarde aujourd'hui en favorisant le secteur privé à outrance.

    Déja opposé à la taxe Tobin quand il était ministre de l'économie en France, chargé au FMI par le G20 d'étudier sa mise en place il l'a déclaré récemment inadaptée et impossible à mettre en place.

    De la même maniére une des premiéres mesures prise par Strauss Kahn quand il est arrivé au FMI c'est de couper dans les dépenses en suprimant 400 postes un peu comme l'a fait notre président chez les fonctionnaire.

    Comme on peut le voir, loin d'être opposés les deux hommes, notre président et son challenger sont extrémement proches et ce n'est pas les milieux d'affaires qui vont s'en plaindre.


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